Il y a cinq ans, la France décidait
du « changement » en élisant le Président Hollande et donnant
le pouvoir absolu aux socialistes.
Ce quinquennat restera dans
les mémoires. Nous n'avons jamais subi autant de décisions contradictoires, de
modifications législatives sur l'ensemble de nos textes. Cinq années d’attaques
en tous genres, de baisse du pouvoir d’achat, de pression fiscale record. Les classes moyennes n’ont jamais été attaquées à ce point, la politique
familiale de notre pays a volé en éclat, le chômage bat des records (9,7 %), le pays n’a jamais été
autant divisé.
Nous avons vécu au jour le
jour en s’interrogeant sur les décisions malheureuses qui allaient être prises,
basées sur l’idéologie de gauche ou sur un esprit revanchard hors propos.
Enfin, nous sommes en Etat d’Urgence depuis
novembre 2015. L’État n’a pas réussi à protéger les citoyens, le bilan de morts
et blessés est terrifiant.
L’erreur de ce choix malheureux
ne doit pas se reproduire.
Il faut s'opposer aujourd’hui
à des projets qui continuent à promettre la Lune à tous. Les mêmes qui nous promettaient
le changement sont aujourd’hui ceux qui nous proposent une "chance"
supplémentaire de tout changer. Les mêmes qui
ont soutenu le parti socialiste et appelé à voter socialiste en 2012 nous
promettent, encore, de raser gratis demain. Ne nous laissons pas manipuler par les
apparences !
En 2013, j’ai proposé une action politique à Nantes émanant
de la société civile et combattant les
idées de la gauche. Sous le slogan « Libre, Droite, Indépendante », j’ai
souhaité réveillé ceux qui ne croyaient plus en la Politique.
Aujourd’hui, je suis toujours Libre, Droite et
Indépendante, malgré les difficultés subies par ma famille. Je constate qu’il
nous faut un président fort, résistant, qui a la volonté d’avancer, avec une
majorité stable.
Notre pays en a besoin, nous en avons besoin pour
nous et nos familles.
Dans cette logique et en poursuivant cette démarche
opposée aux idéologies de gauche, je prends personnellement mes responsabilités,
je voterai donc François Fillon.
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